七夕パーティー・BBQデー・Tanabata party-BBQ day

Le 7 juillet, c’était Tanabata. C’est un jour assez populaire au Japon. La résidence organisait, comme chaque année une petite fête. On avait préparé de la nourriture, enfin je devais le faire mais ayant plusieurs cours dans la journée juste avant, Betty a du me remplacer. Je l’ai quand même aidée après être rentrée et avant de me changer. Il fallait en effet porter un yukata pour la fête. Je me suis dit que c’était une bonne occasion pour en acheter un et pouvoir le garder en souvenir tout en l’utilisant au moins une fois. Cela dit, ce ne fut pas une mince à faire que de m’en trouver un qui me plaise un minimum. Ceux à la mode cette année étaient très chargés en motifs avec des couleurs très vives comme du rose ou du violet. Or, ce n’est pas trop ma tasse de thé. Finalement, j’en ai trouvé au supermarché (qui l’eut cru) pour pas grand-chose d’ailleurs.





D’ailleurs, ce n’est pas des plus faciles à porter si vous voulez mon avis. D’abord, il a fallu qu’Ayano me le mette. Et pendant toute la soirée, je n’ai pas arrêté d’aller la voir pour qu’elle me le remette un peu en place. Mais ça vient aussi sans doute du fait que je bougeais trop et que je n’avais pas l’habitude de marcher ou autre avec. Mais le temps d’une soirée, c’est rigolo je pense.

La soirée était agréable ; une grosse partie des filles portaient un yukata, quelques garçons aussi. On avait des étudiants en échange venus de Musashi et au total on était un sacré nombre dans notre lobby ; environ 70 personnes. On a beaucoup mangé, discuté, pas grand-chose de follement passionnant mais c’était sympa. On a fait quelques jeux en groupe que je n’ai pas forcément super aimé mais c’était tout de même une bonne idée. On avait par exemple des questions à propos des pays du kaikan. Est-ce que c’est vrai que dans tel pays on mange telles choses, à quel âge commence-t-on à boire dans tel pays, etc. Cela dit certaines réponses étaient fausses et ça a faussé le jeu. Ça n’a pas empêché que mon groupe arrive dans les derniers. huhu


Tout ce petit monde dans le lobby de la résidence.
On a aussi fait des purikuras en yukata avec Felix, Ou-san (qui tout deux n’en portaient pas d’ailleurs.), Yuki, Betty et moi, juste avant d’aller dans un petit izakaya dans la rue de Harmonica Yokocho (ou quelque chose s’en approchant.). C’était dans le style ancien japon, avec des vieilles affiches au mur, les menus placardés tout autour, les gens assis par terre, et le tout dans un brouhaha coupé avec de la musique enka. Si j’ai aimé l’ambiance, j’ai moins apprécié les boissons et la nourriture et j’ai fini par vite rentrer.




C'est bien nos portables accrochés à la ceinture. On était fière qu'ils soient de la même couleur que nos obis.
Le 8, c’était l’arrivé de Chacha au Japon donc évidemment, je suis allée la chercher. Pas à Narita cela dit, vu que ça faisait loin et cher pour moi mais à Shinjuku. Ce ne fut peut-être pas une si bonne idée d’ailleurs, puisqu’on a bien mis plus d’une heure et demi pour se retrouver. Je lui avais dit sortie ouest alors que je pensais sortie est donc déjà on s’était loupé à ce moment là mais en plus Chacha était sortit de la gare et avait avancé jusqu’à l’hotel Keio plaza pour ceux qui connaissent…C'est-à-dire loin de la gare. Et comme je ne pouvais pas l’appeler sur son téléphone Français, il fallait que j’attende qu’elle me contacte à chaque fois. Sauf que je n’entendais rien avec mon téléphone japonais qui n’est pas trop bon pour les appels. Mais on a finalement réussit à se trouver.

Il nous a fallu plusieurs minutes à rien faire histoire de se reposer un peu. J’avais pas mal marché pour la retrouver. On est ensuite allé à Asakusa pour trouver son hôtel et déposer ses bagages qui étaient conséquents et lourds. Autant le dire, ce fut long et fatiguant. On a du s’arrêter plusieurs minute, là aussi, à son hôtel pour récupérer.

Par la suite, on est repartit à Shinjuku où Yoko nous attendais et on est allé manger à Saizarya à environ 15/16 h ce qui est assez tard. Si on est allé là bas, c’est entre autre parce que j’avais drôlement faim, je voulais manger un truc d’assez consistant mais pas trop cher et c’est l’endroit idéal pour, je pense. (Surtout qu’ils ont boisson à volonté pour 100 yen de plus.)

On a fait des purikuras pour Chacha et c’était drôle. Elle et Yoko en ont aussi profité pour tenter Taiko no Tatsujin. En fait j’ai essayé aussi mais je me suis complètement plantée. Ça fait trop longtemps et j’ai du rouiller.



On a fait une heure de karaoke qui était pour Chacha sa première fois. Malheureusement une heure, ça passe drôlement vite malgré qu'on ne soit que trois. Après cela, Yoko est rentrée et nous sommes allés au Decabar pour dire bonjour à Myriam et Marine. On n'est pas resté longtemps parce qu’il y avait un peu trop de monde à mon goût et que je n’étais pas très motivée pour être sociable. Et puis, on était fatigué, donc après quelques purikuras (oui, encore.), nous sommes rentrées.

Le lendemain, j’avais un Barbecue avec les gens de la résidence. Il a commencé vers 12 h et a duré toute la journée. C’était amusant en vérité. Gai, un des japonais, s’occupait du barbecue en question et de la viande pendant qu’on s’était décidé à monter la piscine gonflable ce qui nous a demandé pas mal du temps puisqu’il a fallu d’abord la nettoyer, cette dernière étant toute sale. Ensuite, la gonfler ce qui nous as aussi pris du temps vu qu’il nous manquait de quoi la boucher au départ. On a finit par utiliser des sacs en plastiques et des élastiques. Et pour finir, la remplir d’eau. Mais on était bien fier, cela fait.





On s’est aspergé avec le tuyau d’eau, on a sauté dans la piscine, fait des photos, joué au badminton ensemble. Une journée assez tranquille et pas prise de tête mais malgré tout assez fatigante. Il a fallu ranger ensuite et avec Yuki nous sommes allées à Sunroad pour regarder un peu les magasins. Elle a fini par acheter un teeshirt de marque mais je n’ai rien trouvé qui me fasse réellement envie.



Je suis un peu à la traine niveau blog mais je vais essayer de rattraper comme je peux parce que j’ai pas mal à raconter pour une fois.


Dommage que le bas de la photo soit tronqué.