2011-08-15

Last nomikai


Le lendemain, nous sommes allées à Harajuku avec Betty. On a pris, je crois, les meilleurs purikuras de notre vie. On pouvait emprunter les perruques gratuitement et ce fut juste trop drôle. Dommage qu’on n’ait pas trouvé ça plus tôt. Rien de spécial à dire sinon, on a fait les boutiques…on s’est pris la pluie dans la tronche aussi et on est rentrée à Kichijoji parce qu’on avait un dernier rendez-vous avec les gens d’ECT.


J'adore qu'on soit si bien accordées au décor du purikura.


Au départ, ça ne m’arrangeait pas parce que je devais aller chez Sonia pour y amener mes affaires vu qu’elle m’offre gentiment le logis jusqu’à ce que je rentre en France. Mais Masato, apparemment, insistait donc j’ai accepté. Au final, il n’est même pas venu mais passons.




Il y avait un thème derrière cette image mais je ne m'en rappelle plus.


On est donc allé dans un restaurant tabehoudai d’okonomiyaki. Pour être honnête, ce n’était pas super bon. Bon, déjà, il fallait le faire nous même et je ne suis pas une déesse de la cuisine. En plus, c’est un restaurant à lycéen et autres petits jeunes donc la population est plutôt jeune et très bruyante. En plus je stressais pour arriver à l’heure chez Sonia donc pas facile tout ça.






Je suis partie avant la fin du tabehoudai et courut jusqu’à chez moi où j’ai pris ma valise. En sortant du kaikan, je suis tombée sur Ou-san et des amis à lui qui m’ont proposé de m’emmener en voiture jusqu’à Koenji. J’y suis donc allée avec eux. Le monsieur est en réalité chinois et a fait une année d’échange il y a des années de ça mais est resté finalement pour épouser la dame. Enfin, c’était intéressant. La dame a fait la majeure partie de la discussion.






Finalement, j’ai rejoint Sonia qui m’a tout montrée et après qu’on ait discuté quelques minutes, je suis retournée à Kichijoji pour passer la fin de la soirée avec tout le monde.




Mon chapeau a eu la côte auprès de ces messieurs.



On a fait connaissance avec la table à côté de nous: ils étaient de la même université que nous.

Et avec le staff aussi.

  
Le lendemain, on était tous très fatigué mais il a fallu se lever vers 9 h pour dire en revoir à Yuki et Ou-san. Bon, pas besoin de faire un long discours, ce fut super difficile. Je crois qu’on s’est toutes mise à pleurer. Enfin, surtout Betty, Yuki et moi parce que nous étions très proche. Quand elle est partie, on a repleurer encore un peu dans la cuisine avec Betty avant de se reprendre en main. On a passé le reste de la journée à faire diverses formalités comme arrêter le téléphone de Betty ou encore son assurance. On a aussi pris nos derniers purikuras ensemble dans celui qu’on préfère à Kichijoji.


Un dernier Freshness Burger avec Betty qui s'est fait je ne sais quoi au poignet...Donc pansement de circonstance.



En fin d’après-midi, quand il a fallut partir, ce fut encore une fois plus que difficile. J’avais décidé de ne pas raccompagner Betty jusqu’à l’aéroport, trop loin, trop cher, trop …difficile je pense. Arrivée à la gare, évidemment…pleurs encore. Je pense que les gens qui ont lu le blog n’ont pas de difficulté à se rendre compte qu’elle et moi, on était très proche. J’ai quand même essayé jusqu’à la dernière minute de faire comme les grands…ahah.

Ensuite, Felix et moi, on s’est fait un câlin, là aussi j’ai pleuré. Surtout qu’il n’est pas très démonstratif et tout le monde a pris le train. Enfin hormis Benjamin et Genki. Genki m’a donné une adorable petite carte avec des pandas et un petit message comme quoi il était surpris mais content qu’on ait finalement pu devenir ami. Je suis rentrée toute seule à la résidence qui du coup était bien vide et j’ai fini de ranger ma chambre avant de partir en soirée.

 A présent, je suis chez Sonia jusqu’à mon retour en France. Pour tout dire, les premiers jours, ce fut un peu déprimant. Koenji est très très beau. En vérité, c’est plus que sympa, dans le style que j’aime. Des rockeurs, pas mal de jeunes type artistes, pas forcément beaucoup d’étranger et super tranquille en règle général. Mais bon…J’aime tellement Kichijoji. C’est surtout ça le problème.

Mais bon, je n’ai pas de sous en ce moment mais ça devrait arriver demain. A partir de là, je vais faire en sorte de profiter jusqu’au dernier jour. 

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